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1973

Titolo  Ma tu sei Pietro

Titolo originale Mais toi tu es Pierre – Réalisation    Maurice Cloche – Scénario       François-Adrien Carot – Acteurs principaux –  Fred Ulysse – Sociétés de production      Patricia Films – Pays de production Drapeau de la France France – Genre Historique – Durée 90 min – Sortie 1973

Come scrisse Sergio M. Germani nel 2013, nel catalogo de i 1000(o)cchi. Festival internazionale del cinema e delle arti, «l’intrecciarsi di temi religiosi e di presenze fisiche (non raramente femminili) nel cinema di Cloche, compresenza talvolta rimproveratagli come segno di eclettismo, è tutt’altro che un limite. […] Tra i quali siamo lieti di poter includere il film amato da Ford [Peppina e Violetta, n.d.r.], e il Monsieur Vincent giustamente sostenuto da Lourcelles e Vecchiali contro una superficiale etichettatura di saint-sulspicien. Scoprire poi che la visione di questo film (una delle più radicali istanze filmiche di giustizia sociale, film che vive la tensione tra pluralità di corpi affamati da nutrire e astuzie per sollecitare la misericordia dei potenti) abbia toccato don Lorenzo Milani, che da lì elesse Cloche a interlocutore per un film, non può non commuoverci»

 

 

Trama

«Avevo scelto un soggetto che mi era stato portato, e che era la vita di San Pietro. Questa vita di San Pietro avevo personalmente pensato di ambientarla nella sua epoca, ma poi improvvisamente, mentre ci lavoravo sopra, mi sono detto: “Ma no, non devo ambientarla nell’epoca biblica, al tempo dei Vangeli, ma devo ambientarla nel nostro tempo […]”. E la lettera di don Milani mi ha confermato in questa intenzione in quanto attorno a me tutti volevano realizzare il film in costumi storici, ed è don Milani che mi ha aiutato a realizzarlo, nell’epoca moderna» (Cloche).

Breve scena

Tout le village va attendre la pêche miraculeuse qu’ont voulu refaire Pierre, Jean et quelques autres Apôtres. Mais ils n’ont rien! C’est alors qu’ils décident de se disperser comme leur avait enseigné le Maître: “Allez et dispersez-vous pour porter ma parole partout.” Mais partout on leur ferme la porte, ils se retrouvent découragés, et Pierre ne comprend pas bien le sens de sa mission. Puis c’est le Jardin des Oliviers, le reniement de Pierre, la pendaison de Judas, et les Saintes Femmes se retrouvent devant le tombeau vide. “Le Seigneur est ressuscité”, crie Marie-Magdeleine. Pierre et Jean ont du mal à croire cette merveilleuse nouvelle. Les Apôtres sont malheureux, faibles. Puis c’est l’Ascension, la Pentecôte et tous se sentent animés d’un Esprit Nouveau. Ils partent prêcher partout. Les uns après les autres, ils tombent sous les coups de la tyrannie: l’un a la tête tranchée, l’autre est lapidé, le troisième est jeté au fond de la mer. Leurs épreuves sont dures, mais la foi les sauve. Comme tout être humain, Pierre, Thomas ont leurs faiblesses, et le doute étreint parfois lourdement ces hommes simples. Mais Jean est là, avec son amour immense, qui les remet dans le bon chemin. Puis c’est Pierre qui est arrêté et pendu la tête en bas, car il ne se sentait pas digne d’être pendu comme son Maître.

Source : © Fiches du Cinéma

 

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